21 mars 2022

Concilier VLS et infrastructures cyclables

L’essor du vélo ces dernières années est plus que notable. Certaines collectivités font le choix gagnant d’adopter une stratégie de développement de la mobilité urbaine en parallèle d’un développement d’une solution de vélo libre-service.

Quels sont les avantages de déployer du vélo libre-service en même temps que les infrastructures cyclables ?

Les politiques publiques jouent un rôle important pour le développement des infrastructures. Car se sont-elles qui réorganisent l’espace public et qui pilotent les stratégies de mobilités. Piétonisation des centres-villes, abaissement de la limitation à 30km/h, rétrécissement des voies pour les véhicules motorisés… Toutes les actions en faveur des infrastructures, sont complémentaires au développement de la mobilité active.

On peut en mesurer les conséquences avec les pistes cyclables temporaires, dîtes « corona pistes ». Là où dans certaines villes européennes, la pratique du vélo a augmenté de 14% à 30%. En développant massivement les structures cyclables dans les zones urbaines, une offre amènera naturellement vers une demande. C’est de cette manière que la mobilité fonctionne. Sachant que 60% des Français se disent prêt à se mettre au vélo, Stein VAN OOSTEREN cite dans Pourquoi pas le vélo ? « Si le peuple veut, les politiques le voudront aussi ».

Il ne faut pas attendre que les structures cyclables soient là pour changer les habitudes. Il faut en amont réduire chez les automobilistes le besoin d’utiliser la voiture sur de courtes distances. Réduire le nombre de places de stationnement en centre-ville (une place de parking équivaut à une dizaine de vélos garés), développer des méthodes d’intermodalité, organisation de la voirie. C’est déjà le cas aux Pays-Bas, où la réorganisation de la voirie et des espaces de partages ont fortement accélérer la transition vers le vélo. Pour rappel, le vélo représente 30% des déplacements aux Pays-Bas, contre 3% seulement en France. Par conséquence, il faut créer cette demande le plus tôt possible pour créer le besoin d’une infrastructure adaptée.

Pourquoi pas la France ?

Historiquement, les Pays-Bas était le berceau de la culture voiture. C’est en développant massivement les infrastructures cyclables que le vélo, lui, a pu se développer en parallèle. Ces actions dessinent un cercle vertueux pour l’économie de proximité dans une zone urbaine. Générant un retour sur investissement et une ville plus apaisée. La transition vers ce mode de déplacement actif est en marche dans de grande métropole française. Il reste encore trop minoritaire dans les petites et moyennes villes.

Le vélo libre-service Ecovelo, au cœur des problématiques des collectivités en matière de mobilité urbaine

Pour la majorité des petites et moyennes villes, les infrastructures cyclables manquent. C’est la conséquence du manque de demande. Dès lors qu’il existe des infrastructures adaptées, celles-ci ne répondent pas encore à la demande des cyclistes en matière de sécurité. Grâce à son expertise et sa maîtrise du sujet, Ecovelo accompagne ces collectivités dans la résolution de cette problématique. C’est le cas par exemple pour la ville de Reims qui comptait 96 kilomètres de pistes cyclables au début de sa collaboration avec Ecovelo. Le nombre de pistes cyclables sur son réseau et celui des vélos en libre-service a également doubler.

Une solution de vélo libre-service, favorise et légitime clairement le développement de nouveaux aménagements cyclables. Les deux forment un cercle vertueux, entraînant une augmentation de l’usage du vélo sur l’ensemble du territoire. Une stratégie gagnante pour la mobilité active, en vue d’atteindre l’objectif de tripler la part modale du vélo dans les déplacements du quotidien d’ici 2024, en passant de 3 à 9 %. Retrouver vous aussi, l’évolution des aménagements cyclables dans votre ville.

Quels sont les avantages de la mobilité active ?

En 2021, Ecovelo a déployé sa solution de vélo libre-service auprès de 6 collectivités. Elle a su répondre aux problématiques spécifiques à chacune d’entre elles. Le vélo libre-service entretient une flexibilité dans l’usage du vélo, à moindre coût pour l’usager, tout en favorisant son essor. Adapté pour les déplacements de proximité en milieu urbain, il s’intègre parfaitement dans la mobilité urbaine. Améliorant ainsi la qualité de vie en zone urbaine. Le vélo est aussi un réel outil économique pour les collectivités.

Proposer du vélo libre-service répond aux préoccupations du quotidien. Fini le casse-tête du stationnement à domicile, de la réparation et du vol. Investir dans une solution de vélo libre-service c’est privilégier les déplacements urbains, développer l’économie de proximité, accroitre l’offre de transport en commun et de mobilité active.

22 avri 2021

Utiliser le vélo comme outil écologique ?

En 2018, les transports ont produit plus de 121 millions de tonnes de CO², dont 54% causés par la voiture. Plus que jamais nous devons adapter nos habitudes du quotidien, à commencer par nos déplacements, afin de nous diriger vers une transition écologique. Le vélo se présente comme le bon outil : parfait équilibre entre praticité et rapidité, il respecte l’environnement sans bouleverser notre quotidien.

Remise en question suite à la Covid-19 ?

2 Français sur 3 considèrent que la crise sanitaire  a été l’occasion pour accélérer la transition écologique. Une réelle prise de conscience dans le prolongement des engagements pris par la France pour mettre en place un processus stratégique programmé permettant à moyen-long terme de rendre l’économie plus responsable et plus durable. L’Etat a fait le choix d’intégrer cette transition énergétique dans le programme du plan de relance de 100 milliards d’euros. L’objectif est d’atteindre la neutralité carbone dans les 40 prochaines années.[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image= »22170″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Un changement nécessaire

Depuis 2015, la température de la planète n’a jamais été aussi élevée. D’après un rapport de l’ONU, chaque année les émissions de CO² ont progressé de 1,5% avec très peu de signe de ralentissement. Le secteur des transports, première source d’émissions de CO², était responsable de 121 millions de CO² en 2018. C’est la voiture particulière qui remporte la première place d’émissions de gaz à effets de serre produite, avec 54% sur l’ensemble des transports.[/vc_column_text][blockquote text= »33 millions de voitures circulent tous les jours en France » show_quote_icon= »yes » quote_icon_color= »#09db6b »][vc_column_text]Les 33 millions de voitures qui circulent tous les jours en France (l’équivalent d’1 français sur 2) prouvent la force des habitudes de mobilité bien ancrées dans le quotidien des français. Les collectivités se présentent comme les plus aptes à proposer des moyens de substitution à la voiture afin d’éduquer aux nouvelles mobilités, inscrites dans une démarche de transition écologique.

L’enjeu ici n’est donc pas de banaliser l’usage de la voiture, mais bien d’adapter nos modes de transports en fonction de nos besoins. Grâce à un réseau de transports riches, variés et complémentaires, les territoires pourront de ce fait s’intégrer dans une démarche d’apaisement de nos espaces de vie.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Grâce aux collectivités

Entre pistes cyclables, mobiliers urbains spécial vélo, systèmes de vélos en libre-service ou encore aménagements autorisés seulement aux vélos et aux piétons, les collectivités ont de nombreuses opportunités d’améliorer la qualité de l’air de leur ville. En effet, le vélo a de nombreux avantages environnementaux par rapport aux autres moyens de déplacements.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_single_image image= »22167″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]Un vélo électrique permet d’économiser près de 250 g de CO² par km comparé à une voiture.

En effet, l’empreinte carbone d’un vélo à assistance électrique représente seulement 8% de celle d’une voiture. La mobilité active via le vélo permet de s’adapter aux territoires en réduisant au maximum les effets néfastes à l’environnement.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Le vélo, une alternative durable ?

Pas de rejets de gaz à effet de serre, ni de microparticules, ni d’émanations toxiques, le vélo apaise la ville et améliore ainsi la qualité de vie de tous. De plus il est silencieux et permet ainsi de préserver l’environnement sonore.

En 2020, le vélo libre-service représentait 73% des déplacements de mobilité durable en France. Une part qui montre clairement l’impact du libre-service sur les transports. Le vélo n’est plus seulement utilisé par les sportifs ou les écolos, tout le monde peut s’y retrouver pour diverses raisons.  Plus que jamais il devient une réelle alternative, et d’autant plus depuis l’arrivée de l’électrification des véhicules.

De nombreuses options se développent aujourd’hui pour répondre à toutes les problématiques :

S’ajoute à cette dimension écologique le côté pratique et agréable du vélo. L’enjeu n’est donc pas d’évincer la voiture, le bus, etc… mais de créer une harmonie logique et plus respectueuse de notre territoire.

L’objectif est ici d’éduquer pour l’avenir et d’imaginer des stratégies pour que le vélo devienne un réel outil du quotidien, et plus seulement une option. Il répond non seulement à un besoin climatique urgent, mais également à un besoin sanitaire et social.

1 avri 2021

Le vélo : un réel outil économique pour les collectivités

[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

En France, environ 10 milliards d’euros sont générés chaque année sur notre territoire grâce au vélo.
En prenant en compte les retombées socio-économiques du secteur, le vélo génère 29.5 milliards d’euros, et devrait représenter 80 milliards à l’horizon 2030.

Une évolution non-négligeable qui pousse les collectivités à passer le pas vers un Plan Mobilités Actives.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Comment va le vélo depuis la crise sanitaire ?

Depuis la crise sanitaire, nous sommes contraints de modifier nos manières d’agir et nous déplacer au quotidien. L’épisode Covid-19 a incité les Français à éviter les regroupements, et donc, limiter de fait la fréquentation des transports en commun qui ont vu leur taux d’usage diminuer jusqu’à 60% en 2020.

C’est dans cette brèche que le vélo s’est frayé une place majestueuse dans la ville. En plus des avantages territoriaux et économiques, le vélo se présente comme une réelle opportunité à saisir pour aller plus loin vers la refonte de nos modes de vies urbaines.

Le vélo s’est avéré très adapté à la situation sanitaire, permettant de respecter aisément les gestes barrières (distanciation) tout en limitant au maximum l’impact carbone induit.

De ce fait, les retombées économiques de son usage apparaissent aux yeux de tous : 80 000 emplois sont créés chaque année engendrant environ 10 milliards d’euros pour la France.[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_single_image image= »22096″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][vc_empty_space][/vc_column][vc_column][vc_column_text]

Le vélo électrique boost le marché du vélo

En élargissant un peu le cadre d’analyse, l’engouement pour le vélo électrique est un autre élément moteur de cette mutation des modes de déplacement. Bien que depuis plusieurs années le VAE soit devenu une tendance, il représente désormais un segment de marché puissant à part entière, à savoir plus de 45% du marché du cycle, soit près de 400 000 vélos vendus par an. Une tendance lourde et continue que seule la pénurie mondiale de vélos peut freiner.

Les V.A.E sont plus chers, mais ce n’est pas le problème, car ils permettent de convertir des néo-usagers qui veulent avaler des distances plus importantes, ces mêmes personnes qui hésitaient encore à franchir le pas et comparent désormais le coût d’un V.A.E au coût d’une voiture ! Les ventes de VAE devraient progresser de 19 % par an entre 2020 et 2023.[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][vc_column][vc_single_image image= »22098″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Impact économique des ménages

Le vélo a également un impact direct sur le budget des usagers. La pratique du vélo n’engendre aucuns frais liés au carburant ou au stationnement… Un moyen de déplacement très avantageux financièrement pour les cyclistes, et des économies pour tout le foyer.

Pour contrebalancer cette vision idyllique, nombre de personnes y voient certaines contraintes comme le manque de place pour la famille, les difficultés à bien s’équiper contre la pluie et le froid, ou encore un manque de place de stationnement en cœur de ville.

Pourtant, la voiture reste de loin le mode de transport le plus coûteux. Une voiture représente environ 10 à 12% du budget des ménages, soit 5 000€ par an en moyenne.[/vc_column_text][blockquote text= »C’est à ce moment-là que le vélo en libre-service entre en jeu ! Il est le combo parfait pour un déplacement rapide, respectueux de l’environnement, avec aucun entretien ni frais d’achat. » show_quote_icon= »yes » quote_icon_color= »#0dcb63″][vc_column_text]Une consommation facturée « au réel » en général qui permet de se focaliser sur son usage, sans s’engager. Une aide précieuse pour convertir des usagers sans leur demander de changer le monde du jour au lendemain. C’est dans cette dynamique de rationalisation et d’économie du partage que s’inscrivent les solutions Ecovelo ; nous observons en effet qu’un simple et unique vélo libre-service s’adresse en moyenne à 70-100 usagers. Et même s’ils reviennent plus chers à la collectivité que des vélos en location longue durée, le ratio de prix est bien moindre et permet in fine de fournir un service accessible et disponible 24h/7j à un grand nombre d’usagers et citoyens..[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_single_image image= »22097″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][vc_empty_space][/vc_column][vc_column][vc_column_text]

Impact économique durable

D’un point de vue plus global, en comparant le coût des aménagements réalisés par les collectivités pour la voiture et pour le vélo, le constat est flagrant :

D’ici 2030, les embouteillages représenteront un coût de 22 milliards d’€ par an en France. Que ce soit à cause du carburant gaspillé, improductivité liée aux retards de salariés, coûts supplémentaires pour les transporteurs routiers… Un budget qui pourrait très largement contribuer plus positivement aux transports français.[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

De plus en plus de Français cherchent à faire attention à leur manière de consommer de manière générale.

Le secteur du transport, l’un des secteurs qui polluent le plus dans le monde, s’est trouvé être responsable de la l’émission de plus de 121 millions de tonnes de CO² en 2018, dont 54% causés par la voiture.

Si nous ne modifions pas dès maintenant nos moyens de déplacement, nous envoyons les futures générations dans un mur difficile à éviter.

Le vélo ne serait-il pas la meilleure solution ? ou du moins l’une des solutions évidentes à développer très rapidement pour avancer dans la bonne direction ?

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][separator_with_icon icon= »fa-thumbs-o-up » color= »#0033ff »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]Si vous désirez avoir plus d’informations sur le monde des vélos en libre-service, suivez-nous sur les réseaux sociaux.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-facebook » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://www.facebook.com/Ecovelo.officiel/ » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-instagram » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://www.instagram.com/ecovelos/ » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-twitter » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://twitter.com/my_ecovelo » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-linkedin » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://www.linkedin.com/company/9489367/ » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][/vc_column][/vc_row]

11 mars 2021

Transports disponibles pour tous

[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Réduire l’utilisation individuelle de la voiture dans les villes est un enjeu pour un grand nombre de collectivités. Cependant, beaucoup sont encore dépourvues de réseaux de transport urbains denses. L’objectif est de faciliter l’accessibilité aux déplacements du quotidien, à tout le monde quel que soit le lieu de résidence, grâce à une politique cyclable diversifiée et complémentaire des infrastructures en place.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Sommes-nous tous égaux en matière de transports ?

Depuis plusieurs années, les modes de transports en commun se multiplient et sont de plus en plus utilisés. Cependant, nous ne sommes pas encore tous égaux en matière de déplacements.[/vc_column_text][vc_empty_space height= »27px »][blockquote text= »Encore 18 millions de personnes n’ont pas accès à ces transports, notamment dans les territoires périphériques. » show_quote_icon= »yes » quote_icon_color= »#0dcb63″][vc_empty_space height= »27px »][vc_column_text]Un chiffre qui oblige les collectivités à s’adapter et à envisager de nouveaux projets mobilités.

Il est plus difficile pour les personnes habitant en périphérie d’avoir accès aux transports que pour les personnes vivant en hypercentre, point focal d’intermodalité. Créer des pôles générateurs pour relier les différentes villes et communes entre elles est donc primordial pour les élus.

Désenclaver les zones urbaines les moins bien desservies, c’est rendre accessibles les transports à tous. De ce fait, une solution grandissante de politique publique consiste à déployer plusieurs modes de transports publics, et à créer de véritables liaisons intermodales, pour inciter par exemple à l’usage du vélo au quotidien pour le dernier kilomètre, ou pour un usage touristique.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Les infrastructures mises en place

Recréer une harmonie entre tous ces micro-territoires est l’enjeu des collectivités. Depuis 20 ans, le développement des pistes cyclables et véloroutes, s’est concentré autour d’axes structurants en France. Les collectivités y ont investi chacune 1.5 million d’euros en moyenne par an, nous explique l’étude de Vélos & Territoires.

Tout comme l’expérimentation des coronapistes, les collectivités ont engagé plusieurs stratégies cyclables.

Dans cette dynamique, depuis le 20 janvier 2021, les nouveaux trains ont pour obligation de comporter des emplacements destinés aux vélos non démontables dans leurs compartiments. Une initiative parmi d’autres, qui permet au fur et à mesure d’ancrer le vélo dans les habitudes quotidiennes des Français.

Sans oublier l’appel à projets Avelo 2, lancé par l’Ademe dans l’optique d’accompagner les territoires à définir leur politique cyclable.[/vc_column_text][vc_empty_space height= »27px »][blockquote text= »25 millions d’euros ont été mobilisés pour faire du vélo un moyen de transport du quotidien, dans les territoires les moins bien desservis. » show_quote_icon= »yes » quote_icon_color= »#0dcb63″][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_single_image image= »22064″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][vc_empty_space height= »27px »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Le vélo facilite l’accès aux transports ?

Aujourd’hui, de nombreuses possibilités s’offrent aux villes pour proposer des déplacements variés à ses habitants, en courte ou longue distance. Le vélo en fait partie, que ce soit pour relier les différents transports entre eux (très courtes distances), ou en utilisation seul.

Il faut avoir en tête que pour les trajets de moins de 5 kilomètres, le vélo est le mode de déplacement le plus performant (temps + coût), loin devant la voiture, le bus ou la marche.[/vc_column_text][vc_column_text]Certaines infrastructures cyclables augmentent le nombre d’usagers des transports en commun et facilite les reports modaux synergiques. Citons notamment les bandes et pistes cyclables, les couloirs bus ouverts aux vélos, les rues cyclo-piétonnes, les doubles-sens cyclables, les zones 30, les carrefours aménagés, et même les vélos en libre-service. Toutes permettent de créer du lien entre les réseaux « plus lourds », que ce soit pour prendre le train en rejoignant une gare, une station de tramway ou encore de bus, bien plus rapidement qu’en voiture, et à moindre coût. Et n’oublions pas que les externalités de l’usage Vélo sont considérables : santé, environnement, ville apaisée

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_single_image image= »22066″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Des répercussions sur le tourisme ?

Les aménagements cyclables ont forcément un impact sur le tourisme. La France le démontre puisqu’elle est la deuxième destination d’Europe pour le vélo-tourisme, avec plus de 21 millions de cyclistes comptabilisés durant les périodes estivales.

Ainsi, depuis quelques années, les vélos libre-service se présente comme une nouvelle option de découverte pour les touristes. Que ce soit pour le bon rapport qualité-prix, la liberté de circuler et de s’arrêter quasiment partout, la disponibilité 24h/7j, ou encore la facilité d’utilisation, le vélo est devenu une vraie alternative aux véhicules motorisés.

Marseillan est un bon exemple pour mesurer  les bienfaits du vélo sur le tourisme.[/vc_column_text][vc_empty_space height= »27px »][blockquote text= »La ville du littoral a en effet été récompensée par la FUB en 2019, devenant la 3e ville de moins de 20 000 habitants reconnus pour ses diverses actions liées au pratiques cyclables. » show_quote_icon= »yes » quote_icon_color= »#0dcb63″][vc_empty_space height= »27px »][vc_column_text]En effet, permettre aux touristes de visiter différemment les territoires français, aussi bien villes que milieux ruraux, en ouvrant la circulation des zones impraticables en voiture est essentiel. C’est un des objectifs du vélo libre-service dans la plupart des villes de France.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_single_image image= »22065″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Bilan

Les collectivités sont pour beaucoup motrices pour investir sur les infrastructures de transports et elles y consacrent un budget conséquent pour le déploiement des aménagements. Le vélo devient incontournable et offre de réelles répercussions bénéfiques sur les villes, ses entreprises et ses citoyens.

Gain de temps pour les salariés, commerces de proximité plus accessibles, baisse de la pollution sonore, préservation de l’environnement, consolidation du budget des ménages, amélioration de l’espérance de vie, infrastructures routières préservées, le vélo est devenu un mastodonte de l’économie française, avec environ 10 milliards d’euros générés sur notre territoire.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][separator_with_icon icon= »fa-thumbs-o-up » color= »#0033ff »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]Si vous désirez avoir plus d’informations sur le monde des vélos en libre-service, suivez-nous sur les réseaux sociaux.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-facebook » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://www.facebook.com/Ecovelo.officiel/ » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-instagram » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://www.instagram.com/ecovelos/ » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-twitter » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://twitter.com/my_ecovelo » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-linkedin » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://www.linkedin.com/company/9489367/ » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][/vc_column][/vc_row]

8 mars 2021

Le vélo et ses avantages : une ville apaisée

[vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Depuis plusieurs années, la mobilité est devenue un enjeu majeur de l’attractivité des territoires. Structurante aussi bien pour les entreprises que pour les collectivités, les élus investiguent ces nouvelles solutions afin d’enrichir leur politique de déplacement et faciliter la vie de leurs concitoyens.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Quels sont les avantages d’une politique vélo pour les villes ?

L’éco mobilité est un facteur essentiel dans l‘amélioration de la qualité de vie en milieu urbain, à commencer par la circulation. Aujourd’hui, les français passent en moyenne 10h par semaine dans les transports sans compter les embouteillages. Une perte de temps considérable.

Alors que près de 33 millions de voitures circulent sur notre territoire (1 français sur 2 possède une voiture), 60% des français se disent tout de même prêts à laisser de côté leurs véhicules de temps à autres pour utiliser des modes de transports plus responsables (comme le vélo par exemple).[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][vc_column][vc_single_image image= »22025″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]A ce titre, l’utilisation du vélo fait preuve d’un réel impact positif pour les collectivités :

L’exemple récent des coronapistes promeut l’accroissement des aménagements urbains et l’apaisement des centres-villes pour le plus grand bonheur des habitants et des visiteurs.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Comment les collectivités évoluent-elles ? parviennent-elles à innover ?

La crise sanitaire est venue renforcer la prise de conscience de la crise environnementale dans les aménagements urbains. De nombreuses villes ont accéléré leurs projets visant à proposer plus de choix et des alternatives durables pour les déplacements.

Un exemple notoire fut l’expérimentation des coronapistes, ces installations cyclables provisoires mises en place pour permettre aux usagers des transports en commun de privilégier des mobilités douces individuelles garantissant une meilleure distanciation sociale en période de pandémie.

Un véritable succès puisque 80% des 70 villes ayant participé à cette expérimentation envisagent dans les mois à venir, de pérenniser leurs aménagements. Voire même de les développer.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column][vc_empty_space][vc_single_image image= »22027″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Un impact pour les commerces de proximité en centre-ville ?

Depuis plus de 5 ans, les hypermarchés et les plateformes d’e-commerce ont progressé de 300% causant la fermeture de plus de 5% du petit commerce. Face à ce déclin, les collectivités tentent de réagir en adoptant de nouvelles stratégies.

De ce fait, de nombreuses villes françaises ont décidé de limiter, voire d’interdire l’usage de la voiture en centre-ville. Elles ont pu voir la fréquentation et le chiffre d’affaires de leurs commerces augmenter. Un piéton ou un cycliste consomme jusqu’à 30% de plus qu’un automobiliste, il est ouvert à des changements de programmes et se laisse un peu plus guider par ses envies.

Ainsi, malgré toutes les idées reçues sur la nécessité de faciliter l’accès à la voiture, la limitation de sa pratique en encouragent les mobilités actives (dont le vélo) a permis de voir à la hausse la fréquentation des centres-villes. Les raisons sont simples : des espaces urbains plus agréables, plus apaisés, plus sécurisés, moins de nuisance sonore et de pollution de l’air. Un plaisir de flâner et faire des emplettes…[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Premier bilan

Interdire la voiture en centre-ville est une solution draconienne qui n’a pas fait ses preuves. Toutefois, limiter au maximum son utilisation en proposant et en encourageant le recours aux nouvelles mobilités en fonction des usages représentent, sans doute, le juste équilibre dont les territoires ont besoin, pour maintenant et pour l’avenir.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column][vc_empty_space][vc_single_image image= »22029″ img_size= »medium » alignment= »center » qode_css_animation= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][vc_column_text]

Et si le vélo libre-service était la solution ?

Les systèmes de vélos en libre-service ont de nombreux avantages : aussi bien pour les usagers que pour les collectivités. Ils permettent d’améliorer le partage de la route entre les différents types d’usagers, d’inciter à la pratique des transports actifs et l’intermodalité afin de réduire l’autosolisme.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column][separator_with_icon icon= »fa-thumbs-o-up » color= »#0033ff »][/vc_column][/vc_row][vc_row css_animation= » » row_type= »row » use_row_as_full_screen_section= »no » type= »full_width » angled_section= »no » text_align= »left » background_image_as_pattern= »without_pattern »][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]Si vous désirez avoir plus d’informations sur le monde des vélos en libre-service, suivez-nous sur les réseaux sociaux.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-facebook » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://www.facebook.com/Ecovelo.officiel/ » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-instagram » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://www.instagram.com/ecovelos/ » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-twitter » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://twitter.com/my_ecovelo » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][social_icons type= »circle_social » icon= »fa-linkedin » use_custom_size= »no » size= »fa-lg » link= »https://www.linkedin.com/company/9489367/ » target= »_self » icon_color= »#0033ff »][/vc_column][/vc_row]

28 sept 2020

Ecovelo partenaire des petites villes de France

Chez Ecovelo, startup Nantaise, nous proposons des vélos électriques en libre-service pour les petites et moyennes villes.

Une installation simple et accessible.

 

 

Nos vélos « made in France » fonctionnent avec ou sans borne, aucune électrification n’est donc nécessaire à leur installation.
Par ailleurs, les vélos peuvent être sponsorisés par le biais de la publicité afin de réduire le coût d’acquisition de nos services par les collectivités.
Notre système d’information gère l’usage, la location et la maintenance pour le compte des collectivités. Autant d’avantages qui rendent nos vélos plus accessibles.
Il est important de préciser que la location libre-service vient en complément de la location longue durée de vélos.
En effet, nos services sont destinés à des déplacements urbains de 30 minutes maximum, ce qui ne vient en aucun cas concurrencer ces locations de longues durées.

 

 

 

Comment se passe une location ?

La location est possible via une application mobile, SMS, le site internet ou encore un badge (exemple : carte bancaire). Pour le rendu, rien de plus simple : il suffit de replacer le vélo sur une station. Si celle-ci est pleine, il est possible de le sécuriser sur un simple accroche vélo grâce à une chaîne. Le bon stationnement est alors confirmé par géolocalisation.

                                                                                             

 

Qu’en pensent les élus, qu’ils aient ou non déjà accès à notre service ?

En 2022, nos vélos en libre-services sont présents dans 17 villes : La Baule, Reims, Calais, Soisson, Bourg-en-Bresse, Saint-Nazaire, Marseillan

La tribune des petites villes de France a recueillit quelques témoignages :
Antoine Mercier, maire d’Arradon (Morbihan) : « L’accueil des habitants a été favorable et le dispositif s’inscrit parfaitement dans le cadre du projet de mobilité, qui vise notamment à redynamiser le centre-ville. »
Véronique Besse, maire des Herbiers (Vendée) : « L’offre d’Ecovelo nous a séduite, car elle répond à une réelle attente, à la fois des habitants des Herbiers et des nombreux touristes. Elle est innovante, sur-mesure et simple d’accès : nous avons décidé de tenter l’expérience. »

 

Ces retours accroissent notre motivation, et nous poussent vers de nouveaux projets.

 

 

Pour toutes questions, n’hésitez pas à nous contacter à info@ecovelo.com ou au 02 40 72 08 76.

27 fév 2018

Le travail d’équipe au service de la réussite du VLS

Saviez-vous que le système de VLS à Dallas, aux Etats-Unis, représente 20 000 vélos en libre-service ? Et seulement 0,2 % des habitants font du vélo pour se rendre au travail.

Parmi les forces en présence sur le territoire, on peut citer Ofo, le géant chinois, ou encore LimeBike, dont nous vous avions déjà parlé.

Le problème des VLS à Dallas

 

Vélos noyés à Dallas A Dallas, comme dans d’autres grandes villes, les opérateurs tentent d’inonder le marché et d’atteindre une taille critique. L’objectif : devenir incontournable (avant les autres) et forcer la concurrence à partir.

Comme pour un réseau social, le système de VLS doit atteindre un nombre d’abonnées suffisant, pour que tout le monde s’y intéresse. C’est le cas pour Facebook, réseau social que tout le monde connaît et sur lequel on est quasi-sûr de retrouver la quasi totalité de ses connaissances.

Selon cet article d’un magazine américain, Motherboard (lecture en anglais), même le maire de la ville de Dallas, Mike Rawlings, raisonne ainsi : « Si vous pouvez inonder un marché, vous pouvez en devenir le maître et forcer les autres acteurs du VLS à s’en aller ».

A Dallas, des centaines de vélos sont en piteux état, mal garés, dégradés ou découpés en deux. Un compte Instagram dédié à ce sujet a même été mis en place.

Que faire pour solutionner les dégradations dans les systèmes VLS ?

Des solutions pour le VLS

Nous pensons que la qualité des matériaux et la durabilité du vélo jouent pour beaucoup dans la réussite d’un système de VLS. C’est pourquoi notre Titibike est 4 fois plus résistant qu’un VTT. C’est également pour cela qu’il dispose de technologies avancées de sécurisation contre les dégradations.

Mais ce n’est pas tout.

Comme la situation à Dallas l’indique, les opérateurs de VLS ont intérêt à collaborer avec les villes qui les accueillent.

Les actions suivantes peuvent s’avérer bénéfiques :

  • tester en amont les vélos dans certains quartiers, afin d’identifier les usages,
  • travailler avec des associations locales et des collectifs d’habitants, pour que les habitants s’approprient les vélos et veuillent les « chouchouter »,
  • travailler avec la ville pour créer des liens avec les moyens alternatifs à la voiture, comme les transports en commun.

Tout cela rappelle fortement notre article sur le passage de l’autosolisme à la multimodalité, que nous vous invitons à lire ou relire.

A Dallas, la ville pourrait aussi avoir une démarche plus proactive et réguler les zones où les vélos peuvent être garés, demander l’aide de la police municipale pour limiter les abus et dégradations…

Car permettre aux opérateurs de VLS de venir dans sa ville ne suffit pas, il faut ensuite gérer la relation entre le vélo libre-service et ses administrés ! La liberté d’usage ne peut exister sans régulation.

Envie d’en savoir plus ? Contactez-nous, on veut vous parler de vélos libre-service 🙂

10 avri 2017

VLS avec ou sans borne : 3 points-clés pour se décider

Proposer une offre de vélo libre-service au sein d’une collectivité, sur un campus universitaire ou d’entreprise, ou pour un projet immobilier, c’est un projet fédérateur, écoresponsable et qui fait faire des économies. Mais avant de se lancer, l’une des questions-clés est celle du choix du système d’ancrage des vélos : avec, ou sans bornes ?

Titibike s’empare du sujet et vous présente 3 critères majeurs à prendre en compte.

Flexibilité

Titibike, vélo libre-service, disponible en VAE, avec ou sans borne.
Titibike, vélo libre-service, disponible en VAE, avec ou sans borne.

Sans borne : l’usager rend son vélo où il le souhaite, dans un périmètre établi, en l’accrochant sur des appuis vélos ordinaires.

Le + : Solution ultra flexible pour l’usager qui souhaite rendre son vélo lorsqu’il n’y a plus de place à la station

Le – : Il faut mettre en circulation un grand nombre de vélos pour que l’usager qui veut louer un vélo soit sûr d’en trouver un dans les alentours

Avec borne : l’usager rend son vélo uniquement aux stations, sur les bornes « compatibles » et prévues à cet effet. Cette solution permet de limiter le volume de la flotte de vélo en contraignant l’usage.

Le + : l’usager sait où se rendre pour louer un vélo

Le – : les bornes sont prises, il doit trouver une autre station (ou « forcer le rendu » si la technologie le permet)

Et pour le Titibike ?

Il fonctionne avec ou sans borne, la technologie le permet.

Coût du service

Sans borne : l’exploitant du service s’appuie sur les infrastructures existantes pour autoriser les stationnements

Le + : Aucun frais d’infrastructure, ce qui permet d’économiser 30 à 50% sur le coût global du service et d’augmenter la taille de la flotte pour mieux servir les usagers

Le – : Pour que les vélos soient disponibles dans les zones stratégiques d’intermodalité, il sera surement nécessaire d’augmenter la « régulation » (et ainsi le coût) pour déplacer les vélos de manière journalière. De plus, si la technologie est embarquée, alors le coût facial des vélos augmente. Les répartitions sur sites deviennent alors compliquées

Avec borne : l’exploitant du service installe des bornes et stations sur la chaussée pour organiser la location des vélos

Le + : Les bornes permettent une meilleure sécurisation du vélo et limite le pourcentage de vols potentiels, limitant ainsi les frais de remplacement. Les solutions les plus légères se passent de génie civil et font diminuer les coûts.

Le – : Les solutions les plus lourdes nécessitent d’amener le réseau électrique et internet sur les bornes, ce qui fait gonfler le coût des infrastructures.

Et pour le Titibike ?

Que ce soit avec ou sans borne, le Titibike est la solution la moins coûteuse du marché, avec une diminution des coûts allant de 30 à 70% en comparaison aux solutions actuelles du marché

Gestion du service

Sans borne : l’exploitant du service doit réparer, entretenir les vélos et les déplacer un par un

Le + : Il n’y a pas besoin de déplacer la station en cas de travaux ou d’inutilisation des vélos sur une zone précise, mais c’est le seul intérêt que nous avons trouvé pour celui qui gère les vélos.

Le – : Équiper tous les vélos d’un GPS pour permettre de les réparer ou les déplacer un par un. Cela représente une perte de temps conséquente, sauf à les laisser mal entretenus, ce qui n’est pas souhaitable.

Borne du titibike

Avec borne : L’exploitant du service entretient et déplace les vélos de manière groupée

Le + : Les vélos ne sont pas laisser à l’abandon sur la voirie et l’exploitant optimise les déplacements et les réparations

Le – : En cas de modification de la voirie, le déplacement de la station et des vélos peut s’avérer nécessaire. Cela peut engendrer des frais supplémentaires afin de permettre aux usagers de continuer à profiter du service

Et pour le Titibike ?

Concernant notre offre, les bornes extra-légères du Titibike permettent la mobilité des stations à moindre coût. Cela facilite également le travail des opérateurs sur le terrain.

Alors que les chinois Ofo et Mobike ont pour ambition de conquérir le marché mondial, de nombreux problèmes apparaissent. En effet, les  vols, dégradations, problèmes d’urbanisme, blocage de la voirie et vélos empilé sont monnaie courante

Titibike permet de pallier ces problèmes en proposant des stations aux bornes extra-légères afin de sécuriser l’usage du vélo. Il est également possible de « forcer le rendu » du vélo aux alentours d’une station déjà pleine pour plus de flexibilité.