28 sept 2020

Ecovelo partenaire des petites villes de France

Chez Ecovelo, startup Nantaise, nous proposons des vélos électriques en libre-service pour les petites et moyennes villes.

Une installation simple et accessible.

 

 

Nos vélos « made in France » fonctionnent avec ou sans borne, aucune électrification n’est donc nécessaire à leur installation.
Par ailleurs, les vélos peuvent être sponsorisés par le biais de la publicité afin de réduire le coût d’acquisition de nos services par les collectivités.
Notre système d’information gère l’usage, la location et la maintenance pour le compte des collectivités. Autant d’avantages qui rendent nos vélos plus accessibles.
Il est important de préciser que la location libre-service vient en complément de la location longue durée de vélos.
En effet, nos services sont destinés à des déplacements urbains de 30 minutes maximum, ce qui ne vient en aucun cas concurrencer ces locations de longues durées.

 

 

 

Comment se passe une location ?

La location est possible via une application mobile, SMS, le site internet ou encore un badge (exemple : carte bancaire). Pour le rendu, rien de plus simple : il suffit de replacer le vélo sur une station. Si celle-ci est pleine, il est possible de le sécuriser sur un simple accroche vélo grâce à une chaîne. Le bon stationnement est alors confirmé par géolocalisation.

                                                                                             

 

Qu’en pensent les élus, qu’ils aient ou non déjà accès à notre service ?

En 2022, nos vélos en libre-services sont présents dans 17 villes : La Baule, Reims, Calais, Soisson, Bourg-en-Bresse, Saint-Nazaire, Marseillan

La tribune des petites villes de France a recueillit quelques témoignages :
Antoine Mercier, maire d’Arradon (Morbihan) : « L’accueil des habitants a été favorable et le dispositif s’inscrit parfaitement dans le cadre du projet de mobilité, qui vise notamment à redynamiser le centre-ville. »
Véronique Besse, maire des Herbiers (Vendée) : « L’offre d’Ecovelo nous a séduite, car elle répond à une réelle attente, à la fois des habitants des Herbiers et des nombreux touristes. Elle est innovante, sur-mesure et simple d’accès : nous avons décidé de tenter l’expérience. »

 

Ces retours accroissent notre motivation, et nous poussent vers de nouveaux projets.

 

 

Pour toutes questions, n’hésitez pas à nous contacter à info@ecovelo.com ou au 02 40 72 08 76.

27 fév 2018

Le travail d’équipe au service de la réussite du VLS

Saviez-vous que le système de VLS à Dallas, aux Etats-Unis, représente 20 000 vélos en libre-service ? Et seulement 0,2 % des habitants font du vélo pour se rendre au travail.

Parmi les forces en présence sur le territoire, on peut citer Ofo, le géant chinois, ou encore LimeBike, dont nous vous avions déjà parlé.

Le problème des VLS à Dallas

 

Vélos noyés à Dallas A Dallas, comme dans d’autres grandes villes, les opérateurs tentent d’inonder le marché et d’atteindre une taille critique. L’objectif : devenir incontournable (avant les autres) et forcer la concurrence à partir.

Comme pour un réseau social, le système de VLS doit atteindre un nombre d’abonnées suffisant, pour que tout le monde s’y intéresse. C’est le cas pour Facebook, réseau social que tout le monde connaît et sur lequel on est quasi-sûr de retrouver la quasi totalité de ses connaissances.

Selon cet article d’un magazine américain, Motherboard (lecture en anglais), même le maire de la ville de Dallas, Mike Rawlings, raisonne ainsi : « Si vous pouvez inonder un marché, vous pouvez en devenir le maître et forcer les autres acteurs du VLS à s’en aller ».

A Dallas, des centaines de vélos sont en piteux état, mal garés, dégradés ou découpés en deux. Un compte Instagram dédié à ce sujet a même été mis en place.

Que faire pour solutionner les dégradations dans les systèmes VLS ?

Des solutions pour le VLS

Nous pensons que la qualité des matériaux et la durabilité du vélo jouent pour beaucoup dans la réussite d’un système de VLS. C’est pourquoi notre Titibike est 4 fois plus résistant qu’un VTT. C’est également pour cela qu’il dispose de technologies avancées de sécurisation contre les dégradations.

Mais ce n’est pas tout.

Comme la situation à Dallas l’indique, les opérateurs de VLS ont intérêt à collaborer avec les villes qui les accueillent.

Les actions suivantes peuvent s’avérer bénéfiques :

  • tester en amont les vélos dans certains quartiers, afin d’identifier les usages,
  • travailler avec des associations locales et des collectifs d’habitants, pour que les habitants s’approprient les vélos et veuillent les « chouchouter »,
  • travailler avec la ville pour créer des liens avec les moyens alternatifs à la voiture, comme les transports en commun.

Tout cela rappelle fortement notre article sur le passage de l’autosolisme à la multimodalité, que nous vous invitons à lire ou relire.

A Dallas, la ville pourrait aussi avoir une démarche plus proactive et réguler les zones où les vélos peuvent être garés, demander l’aide de la police municipale pour limiter les abus et dégradations…

Car permettre aux opérateurs de VLS de venir dans sa ville ne suffit pas, il faut ensuite gérer la relation entre le vélo libre-service et ses administrés ! La liberté d’usage ne peut exister sans régulation.

Envie d’en savoir plus ? Contactez-nous, on veut vous parler de vélos libre-service 🙂

12 juil 2017

Votre ville est-elle propice à l’usage du vélo ?

L’Index Copenhagenize des villes les plus propices à la pratique du véloCycliste au soleil couchant

Saviez-vous qu’il existe un index des villes du monde les plus adaptées à la pratique du vélo ?

Le « Copenhagenize Bicycle Friendly Cities Index 2017 » a été créé par la société Danoise Copenhagenize, spécialiste en conseil en urbanisme. Elle veut repenser les usages et moyens de transports en ville.

En effet, 136 des plus grandes villes du monde figurent dans cet Index.

L’étude détermine trois facteurs-clés permettant d’entrer dans le classement des villes favorables au développement du vélo :

  • Des investissements substantiels dans les infrastructures adaptées (pistes cyclables, parcs à vélos, etc.),
  • Une volonté citoyenne et politique d’améliorer sa ville et la qualité de vie de ses habitants,
  • Une prise de conscience autour du vélo afin de favoriser l’intermodalité des modes de transports urbains.

Les villes françaises, bonnes ou mauvaises élèves ?

Alors, ne laissons pas durer le suspense : trouvons-nous des villes françaises dans le haut du classement ?

Un vélo en bas d'un escalier

Selon les critères de l’Index, la France compte 4 villes jugées propices à l’usage du vélo en 2017 : Strasbourg à la 4ème place, Bordeaux à la 6ème place, Paris à la 13ème place, et Nantes à la 16ème place. Les bureaux de Titibike étant basés à Nantes, nous espérons que la ville atteindra des sommets d’ici deux ans !

Strasbourg manque de peu le podium mondial, et réalise cette très belle performance pour plusieurs raison : la part du VLS strasbourgeois représente 16% des déplacements urbains en vélo, en croissance de 3% ! La ville procède à une véritable planification du vélo, sur le long-terme, et met en place un réseau cohérent de pistes cyclables comprenant trois boulevards périphériques et des pistes d’accès au centre-ville. Il n’y aura plus d’excuses pour ne pas utiliser le vélo dans ses déplacements du quotidien à Strasbourg.

10 avri 2017

VLS avec ou sans borne : 3 points-clés pour se décider

Proposer une offre de vélo libre-service au sein d’une collectivité, sur un campus universitaire ou d’entreprise, ou pour un projet immobilier, c’est un projet fédérateur, écoresponsable et qui fait faire des économies. Mais avant de se lancer, l’une des questions-clés est celle du choix du système d’ancrage des vélos : avec, ou sans bornes ?

Titibike s’empare du sujet et vous présente 3 critères majeurs à prendre en compte.

Flexibilité

Titibike, vélo libre-service, disponible en VAE, avec ou sans borne.
Titibike, vélo libre-service, disponible en VAE, avec ou sans borne.

Sans borne : l’usager rend son vélo où il le souhaite, dans un périmètre établi, en l’accrochant sur des appuis vélos ordinaires.

Le + : Solution ultra flexible pour l’usager qui souhaite rendre son vélo lorsqu’il n’y a plus de place à la station

Le – : Il faut mettre en circulation un grand nombre de vélos pour que l’usager qui veut louer un vélo soit sûr d’en trouver un dans les alentours

Avec borne : l’usager rend son vélo uniquement aux stations, sur les bornes « compatibles » et prévues à cet effet. Cette solution permet de limiter le volume de la flotte de vélo en contraignant l’usage.

Le + : l’usager sait où se rendre pour louer un vélo

Le – : les bornes sont prises, il doit trouver une autre station (ou « forcer le rendu » si la technologie le permet)

Et pour le Titibike ?

Il fonctionne avec ou sans borne, la technologie le permet.

Coût du service

Sans borne : l’exploitant du service s’appuie sur les infrastructures existantes pour autoriser les stationnements

Le + : Aucun frais d’infrastructure, ce qui permet d’économiser 30 à 50% sur le coût global du service et d’augmenter la taille de la flotte pour mieux servir les usagers

Le – : Pour que les vélos soient disponibles dans les zones stratégiques d’intermodalité, il sera surement nécessaire d’augmenter la « régulation » (et ainsi le coût) pour déplacer les vélos de manière journalière. De plus, si la technologie est embarquée, alors le coût facial des vélos augmente. Les répartitions sur sites deviennent alors compliquées

Avec borne : l’exploitant du service installe des bornes et stations sur la chaussée pour organiser la location des vélos

Le + : Les bornes permettent une meilleure sécurisation du vélo et limite le pourcentage de vols potentiels, limitant ainsi les frais de remplacement. Les solutions les plus légères se passent de génie civil et font diminuer les coûts.

Le – : Les solutions les plus lourdes nécessitent d’amener le réseau électrique et internet sur les bornes, ce qui fait gonfler le coût des infrastructures.

Et pour le Titibike ?

Que ce soit avec ou sans borne, le Titibike est la solution la moins coûteuse du marché, avec une diminution des coûts allant de 30 à 70% en comparaison aux solutions actuelles du marché

Gestion du service

Sans borne : l’exploitant du service doit réparer, entretenir les vélos et les déplacer un par un

Le + : Il n’y a pas besoin de déplacer la station en cas de travaux ou d’inutilisation des vélos sur une zone précise, mais c’est le seul intérêt que nous avons trouvé pour celui qui gère les vélos.

Le – : Équiper tous les vélos d’un GPS pour permettre de les réparer ou les déplacer un par un. Cela représente une perte de temps conséquente, sauf à les laisser mal entretenus, ce qui n’est pas souhaitable.

Borne du titibike

Avec borne : L’exploitant du service entretient et déplace les vélos de manière groupée

Le + : Les vélos ne sont pas laisser à l’abandon sur la voirie et l’exploitant optimise les déplacements et les réparations

Le – : En cas de modification de la voirie, le déplacement de la station et des vélos peut s’avérer nécessaire. Cela peut engendrer des frais supplémentaires afin de permettre aux usagers de continuer à profiter du service

Et pour le Titibike ?

Concernant notre offre, les bornes extra-légères du Titibike permettent la mobilité des stations à moindre coût. Cela facilite également le travail des opérateurs sur le terrain.

Alors que les chinois Ofo et Mobike ont pour ambition de conquérir le marché mondial, de nombreux problèmes apparaissent. En effet, les  vols, dégradations, problèmes d’urbanisme, blocage de la voirie et vélos empilé sont monnaie courante

Titibike permet de pallier ces problèmes en proposant des stations aux bornes extra-légères afin de sécuriser l’usage du vélo. Il est également possible de « forcer le rendu » du vélo aux alentours d’une station déjà pleine pour plus de flexibilité.